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Dur de ne pas le remarquer : le commerce électronique est en pleine expansion.
Mais qui sont ceux et celles qui utilisent ce mode de consommation ? Je vais répondre à cette question du mieux possible en vous présentant le portrait type du cyberacheteur québécois.
Selon un rapport de l’Académie de la transformation numérique (ATN), parmi tous les internautes du Québec, 78% procèdent à des achats et sont donc des cyberacheteurs. C’est 20% de plus qu’en 2017. Une augmentation importante qu’il faut absolument prendre en considération pour assurer la pérennité de son commerce.
Alors que les achats en ligne se multiplient, le nombre de commerçants qui opère une transition numérique est très loin d’être proportionnel. Cela est principalement dû à la peur de se lancer dans le numérique.
C’est normal. On ne se cachera pas que les choses changent de plus en plus vite et qu’il est difficile de sortir de sa zone de confort. Mais bon, les derniers temps le mot zone rime plus avec des couleurs qu’avec confort.
Tant qu’à parler de couleurs de feu de circulation, c’est comme en auto, plus vous roulez et vous vous pratiquez, plus vite vous deviendrez un bon conducteur. Si vous ne pratiquez pas pendant votre période probatoire ça se peut que vous fassiez un méchant saut quand vous allez embarquer sur l’autoroute.
De plus il faut faire attention. Une boutique en ligne ne va pas remplacer une boutique de brique et de mortier déjà bien implantée. Bien au contraire, les deux vont coexister de façon complémentaire. Il faut d’ailleurs penser au commerce unifié.
Mais là je m’écarte, on parlera de ça le mois prochain. Revenons à nos cyberacheteurs-qui-vont-quand-même-continuer-à-acheter-dans-les-boutiques-physiques
Ci-dessous, un tableau de l’ATN présente un portrait socio-démographique ainsi que la provenance des achats. N’hésitez pas à augmenter la taille du tableau à l’aide de la fonction dans le coin supérieur gauche et à jouer avec les aperçus dynamiques à l’aide des flèches et des listes déroulantes.
Selon moi, il y a un détail à prendre en considération. Ce n’est pas parce qu’un achat transige par Amazon que le produit ne provient pas d’un marchand québécois.
Amazon est un marketplace. Un rassemblement numérique de boutiques. Il est donc plus simple d’acheter local sur Amazon que de le faire au Doloramma lorsque tu as besoin d’éponges à récurer.
C’est comme pour l’elliptique dans le sous-sol qui a servi 4 fois. Que tu le vendes sur Kijiji ou sur Facebook ça ne change rien. Les deux plateformes t’ont donné de la visibilité et au final les revenus arrivent dans tes poches.
Je prends également le cas d’un aubergiste qui peste contre Airbnb en disant que ça lui vole de la clientèle. Au lieu de voir l’application comme un concurrent il s’agit au contraire de l’utiliser comme un outil pour promouvoir son offre.
Tout ça pour dire que l’achat québécois et canadien est éventuellement mal évalué dans le graphique. Mais je me suis encore écarté, je m’en excuse.
J’en reviens aux cyberacheteurs-qui-vont-quand-même-continuer-à-acheter-dans-les-boutiques-physiques-et-qui-peuvent-acheter-local-sur-Amazon.
La plus grande proportion de cyberacheteurs se concentre chez les 18 à 54 ans. Les consommateurs au revenu plus élevé seraient plus enclins à acheter en ligne.
Ce sont des données assez logiques.
Ce qu’il est intéressant d’apprendre, c’est que les cyberachateurs ont des attentes bien identifiées.
Selon les écrits recensés, pour le commerce en ligne, les consommateurs s’attendent à :
Selon une étude menée en 2018 par le Centre facilitant la recherche et l’innovation dans les organisations (qui est malheureusement fermé définitivement depuis 2020 et dont les activités sont reprises par l’ATN) les ventes en ligne représentaient en moyenne 20 % des ventes totales annuelles des entreprises.
Ça c’était avant la crise sanitaire.
Depuis, 69% des cyberacheurs québécois ont augmenté un peu ou beaucoup leurs achats en ligne. Et tout porte à croire que ces habitudes sont là pour rester.
C’est le moment idéal pour les commerçants de sauter dans l’univers du Web. Bien accompagné d’un chauffeur d’expérience, l’apprentissage de la conduite de votre commerce électronique devient un jeu d’enfant que vous prendrez plaisir à manier peu importe les intempéries.
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